jeudi 10 juillet 2008

Bryce et Zion












  

































Quelques-uns des parcs nationaux les plus connus croisent notre chemin. Nous avons déjà traversé Bryce et Zion. En venant du Nord, la route empruntée pour les atteindre plonge dans une faille, remonte un impressionnant dénivelé, serpente à flanc de falaise… Nous sommes plongés dans ce paysage époustouflant presque sans savoir que nous sommes déjà dans le périmètre du parc. Devant nos yeux c’est une accumulation de strates colorées, découpées comme de la dentelle, d’espaces arides sans être stériles, désertiques mais vivants, en mouvement. A Bryce comme à Zion, une route longe le canyon – tout est fait pour la voiture ! - et conduit aux principaux points de vue. C’est très balisé. Même pour ceux qui veulent y passer la nuit et emprunter un chemin de randonnée. Les guides de voyage et les différents sites Internet parcourus annoncent des files d’attente et préviennent qu’il faudra faire preuve de patience. Ce n’est pas ce que nous constatons. A aucun moment nous n’avons eu l’impression d’être noyés dans la masse de visiteurs et de touristes. A certains endroits, nous étions seuls, tant à Bryce qu’à Zion. Et nous avons eu – comme souvent – beaucoup de chance : à Bryce comme à Zion, l’orage grondait, le vent s’est levé, la lumière était saisissante. Nous avons capturé l’éclair et l’arc-en-ciel. 


Les parcs sont impressionnants ;  les paysages traversés lorsque nous avons pris des routes parallèles, afin d’éviter les speedways, le sont tout autant. 

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